Press: Jun 01 2012
Nicolas Testé est excellent en Ferrando, probablement un des meilleurs titulaires actuels de ce rôle.
Press: May 01 2012
Diana Damrau et Nicolas Teste reprennent Mozart en duo, accompagnés par les Talens lyriques. Rencontre avec un couple à la ville comme à la scène.
Press: Jul 21 2012
Yoshi Oïda fait de Zurga le personnage principal, un défi qu'André Heyboer reléve avec aplomb. La voix est saine, ferme et sonore, la diction soignée, et on lui pardonne aisément quelques traces de fatigue au III. Nicolas Testé, Nourabad juvénile et puissant, est egalement à sa place, ce qui n'est pas exactment le cas de Dmitry Korchak.
Marie-Aude Roux | Le Monde
Dans cet univers pictural se déploie le cérémoniel de la vierge dévolue au temple et rompant ses voeux par amour – a-t-on assez reproché au livret le plagiat explicite de Norma, de Bellini, et de La Vestale, de Spontini ! – qu’Oïda décline à travers le regard de Zurga, personnage sacrificiel, ami fidèle, amoureux éconduit et chef sacrilège. Idée d’autant plus pertinente que le baryton d’André Heyboer est de toute beauté.
De même le grand prêtre Nourabad de Nicolas Testé. Seul bémol, le Nadir de Dmitry Korchak, à qui incombe le difficultueux honneur de chanter la célèbre romance d’amour “Je crois entendre encore” à la belle Leïla….
Concert Classic
Nicolas Testé, basse bien nourrie, démontre quant à lui un incontestable métier en Nourabad.
Yannick Millon | Altamusica
Aucune réserve de cet ordre en revanche pour les clés de fa, Nourabad impérial de Nicolas Testé, d’un grain d’authentique basse noble, d’un legato somptueux, et Zurga impressionnant d’impact dans le haut registre d’André Heyboer, qui, s’il n’a pas l’instrument le plus coloré du monde, affiche avec une déclamation authentiquement française une sûreté à toute épreuve.