Début de la maison à ‘Lucia di Lammermoor’ à San Francisco Opera

Accueil: Sep 20 2015

In diesem Herbst gibt Nicolas Testé sein Début an der Oper San Francisco als Raimundo in Donizettis « Lucia di Lammermoor ». Mit ihm erleben Sie eine spektakuläre Besetzung, wie Nadine Sierra in der Titelrolle, Piotr Beczala als Edgardo und Brian Mulligan als Enrico. Der Dirigent Nicola Luisotti dirigiert das Orchester und den Chor der Oper San Francisco; in einer neuen Produktion unter der Leitung von Michael Cavanagh, und einer Inszenierung von Erhard Rom. Die Aufführungen finden am 8. 11. 13. 16. 21. 24. & 28. Oktober im historischen War Memorial Opernhaus statt.

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Les Pelléas et Mélisande de Debussy à Montréal

Accueil: Août 25 2015

Cet automne Nicolas Testé chante le rôle d’Arkel, Roi d’Allemonde, dans une présentation de concert du célèbre opéra « Pelléas et Mélisande » de Debussy, accompagné de l’Orchestre Symphonique de Montréal. Les représentations auront lieu le 8 & 9 septembre. Hélène Guilmette chantera le rôle de Mélisande, Bernard Richter sera Pelléas, et Philippe Sly interprêtera Golaud. Kent Nagano dirigera l’orchestre et le coeur de l’OSM. La disponibilité des tickets pour ces concerts, qui ouvriront la saison de l’OMS, est très restrainte.

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Pelléas et Mélisande / Montréal

Presse: Sep 23 2015 | Lev Bratishenko | Montreal Gazette

"French bass-baritone Nicolas Testé was an excellent and tragic King Arkel. He rounded out a well-balanced cast in a hall that begs for more singing . . ."

Lev Bratishenko | Montreal Gazette

« French bass-baritone Nicolas Testé was an excellent and tragic King Arkel. He rounded out a well-balanced cast in a hall that begs for more singing . . . »

Claude Gingras | La Presse

« Saluons ici le Français Nicolas Testé, qui apporte au personnage du vieillard aveugle Arkel, roi d’Allemonde et grand-père des demi-frères ennemis Pelléas et Golaud, une authentique basse profonde, une admirable articulation du texte (un art presque perdu aujourd’hui!) et une convaincante présence . . . »

Christophe Huss | Le Devoir

 » . . . qui modère Nicolas Testé dans la première intervention d’Arkel, qui sonnait comme Caronte dans L’Orfeo de Monteverdi, et qui tente d’inculquer à Hélène Guilmette quelques rudiments des contours de Mélisande . . . »

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