Tournée VERDIssimo et Maria Stuarda a Berlin
Accueil: Mai 10 2018
Accueil: Mai 10 2018
Nicolas Testé et Diana Damrau partent pour une tournée VERDIssimo les 17 et 19 mai, suivi des 4, 7 et 10 juin, après avoir donné deux représentation en concert de Maria Stuarda de Donizetti au Deutsche Oper Berlin les 28 et 31 mai.
La tournée Verdi sera dirigée par Ivan Repušić et passera par la Festhalle de Viersen, le Festspielhaus de Baden-Baden, le Musikverein de Vienne et le KKL (Palais de la Culture) à Lucerne. Le 4ème concert de la tournée, au Palais des congrès de Lufti Kirdar à Istambul sera dirigé par Pavel Baleff.
Au programme des airs duos, ouverture de grands opéras verdiens, dont La Traviata, Le Trouvère, Don Carlo et Luisa Miller.
Les performances de Maria Stuarda comprennent Diana Damrau dans le rôle de la tuile, Jana Kurucová comme Elisabetta I., Javier Camarena comme le Comte Leicester et Nicolas Testé comme Giorgio Talbot. Francesco Ivan Ciampa dirige.
Pour plus d’informations, visitez le site Web du Deutsche Oper Berlin.
Accueil & Presse: Avr 17 2018 | Bachtrack
A compassionate duet with George Talbot (the superb Nicolas Testé)...
« …the bass-baritone managed to imbue his role with a quiet authority that made Talbot a center of stillness who commanded attention. His beautifully produced voice helped to make the « confession » scene with Damrau the undoubted highlight of the evening. This was Donizetti and the singers at their combined best, the overall impact unutterably moving. »
Opera News
« Nicolas Testé was a solid Talbot… »
Seen and Heard International
« Excelente sin embargo el Talbot de Nicolas Testé… Testé concedió además a Damrau los momentos más íntimos y memorables, particularmente en la confesión de María ante su amigo el conde. »
Platea Magazine
« Die tieferen Stimmen – Nicolas Testé als Marias Parteigänger Talbot, Andrzej Filonczyk als Elisabeths Ratgeber Cecil – halten dem Niveau stand. »
Badische Zeitung
« Nicolas Testé, im wahren Leben Ehemann der DD, besticht mit mächtig schwarzem Bassbariton… »
Augsburger Allgemeine
Gestärkt durch die Sündenvergebung durch Talbot, der sich ihr als katholischer Priester zu erkennen gibt (sonor und kultiviert Nicolas Testé)…
Dreh Punkt Kultur
Accueil & Presse: Mai 19 2018 | RP Online (Viersen)
Die Zuhörer waren restlos begeistert, Bravorufe mischten sich zunehmend in den brausenden Applaus. Selbiges wurde im Anschluss daran zu Recht auch Nicolas Testé zuteil, der - getragen vom glutvollen Solo des großartigen ersten Cellisten des Orchesters - die Arie des Philipp aus "Don Carlo" faszinierend gestaltete. Den Abschluss bildete ein Duett aus der frühen Verdi-Oper "Luisa Miller" (nach Schillers "Kabale und Liebe"), in der das Sänger-Ehepaar erneut zeigte, wie gut es in jeder Weise harmoniert.
« Le baryton-basse débute le récital avec Fiesco et Simon Boccanegra, « A te l’estremo addio » (Pour la dernière fois adieu). La gestuelle convient au personnage fou de chagrin puis repentant. Jusqu’à la dernière phrase (« Prega per me », Prie pour moi) sur laquelle les graves les plus profonds sont tenus, la diction est excellente, l’ambitus large et la projection solide.
En Ferrando, « Di due figli vivea padre beato » (Le bon comte Luna vivait heureux avec deux fils) du Trouvère, il narre avec légèreté ou gravité selon les passages l’histoire de la sorcière et outrepasse la difficulté rythmique de l’air. Pour Macbeth, c’est l’air « Studia il passo, o mio figlio » (Ralentis le pas, mon fils) de Banco qui est choisi. Les vibratos adoucissent presque la « terreur » et les « ténèbres » du texte. Caverneux quand il le faut, puissant et passionné lorsqu’il exprime le désespoir régalien, il est un Philippe II convaincant sur l’air « Ella giammai m’amò » (Elle ne m’a jamais aimé) de Don Carlo. »
« Testé reüssierte mit einem in der Mittellage energischen, im Bass diskreten Fiesco… Packende Duette wie die gräuliche Wurm/Luisa-Miller-Szene « Il padre tuo » wurden dank der spürbaren Zweisamkeit der Bühnenpartner authentisch. Reichlich Applaus für ein schönes Paar. »
« Nicolas Testé is a basso cantante rather than a basso profondo… Well-chosen for both their inherent musical value and suitability were Fiesco’s aria “Il lacerato spirit” from Simon Boccanegra and King Philipp’s “Ella giammai m’amò” from Don Carlo. In both arias, he showed a rich malleable instrument, clear Italian diction and expressivity. »
ConcertoNet
« Aber auch das stimmliche Licht des Gatten Nicolas Testé kann in der großen Arie des Philipp (« Ella Giammai M’amo ») noch einmal dunkel-glühend aufleuchten. Mit dem Duett zwischen dem widerwärtigen Intriganten Wurm und der Soldatentochter Luisa aus dem zweiten Akt von « Luisa Miller » endet der Abend, der schließlich doch zum musikalischen Erlebnis wird. »
Onetz