News & Press: Nov 16 2018
News & Press: Oct 07 2018
“Encore plus là, la belle basse de Nicolas Testé, Marcel remarquable dans ses convictions et sa fidélité à son maître.”
“Enfin, Nicolas Testé tient la noblesse un peu sombre de Marcel avec constance, un chant beau et chaleureux qui doit pourtant composer avec les coupures assez importantes réalisées sur sa partition.”
“Belle prestation de Nicolas Testé, Marcel, très homogène et convaincant dans son rôle de serviteur et conseiller d’un Raoul perpétuellement inconstant, lui rappelant sans cesse qu’il est protestant, nous faisant partager largement son exhalation religieuse, sa noblesse de caractère.”
News & Press: Jul 09 2018
Musikalisch überzeugte auch Nicolas Testé als Lauras gehörnter und rachsüchtiger Gemahl Alvise mit elegantem Bass
News & Press: May 30 2018
Bass-baritone Nicolas Testé (Damrau’s real-life husband) brought a grounded, fatherly aura and vocal urgency to the Earl of Shrewsbury
“Die Glanzleistungen dieser beiden Hauptfiguren in Hinblick auf darstellerische Kraft ohne Kostüm und in Hinblick auf sängerische Schönheit werden ergänzt von den auf höchstem Niveau singenden Vertreter der Nebenrollen: Durchschlagskräftig und doch tonfarblich flexibel singen Nicolas Testé in der Rolle des Maria ergebenen Georg Talbot”
News & Press: May 19 2018 | RP Online (Viersen)
Die Zuhörer waren restlos begeistert, Bravorufe mischten sich zunehmend in den brausenden Applaus. Selbiges wurde im Anschluss daran zu Recht auch Nicolas Testé zuteil, der - getragen vom glutvollen Solo des großartigen ersten Cellisten des Orchesters - die Arie des Philipp aus "Don Carlo" faszinierend gestaltete. Den Abschluss bildete ein Duett aus der frühen Verdi-Oper "Luisa Miller" (nach Schillers "Kabale und Liebe"), in der das Sänger-Ehepaar erneut zeigte, wie gut es in jeder Weise harmoniert.
“Le baryton-basse débute le récital avec Fiesco et Simon Boccanegra, “A te l’estremo addio” (Pour la dernière fois adieu). La gestuelle convient au personnage fou de chagrin puis repentant. Jusqu’à la dernière phrase (“Prega per me”, Prie pour moi) sur laquelle les graves les plus profonds sont tenus, la diction est excellente, l’ambitus large et la projection solide.
En Ferrando, “Di due figli vivea padre beato” (Le bon comte Luna vivait heureux avec deux fils) du Trouvère, il narre avec légèreté ou gravité selon les passages l’histoire de la sorcière et outrepasse la difficulté rythmique de l’air. Pour Macbeth, c’est l’air “Studia il passo, o mio figlio” (Ralentis le pas, mon fils) de Banco qui est choisi. Les vibratos adoucissent presque la « terreur » et les « ténèbres » du texte. Caverneux quand il le faut, puissant et passionné lorsqu’il exprime le désespoir régalien, il est un Philippe II convaincant sur l’air “Ella giammai m’amò” (Elle ne m’a jamais aimé) de Don Carlo.”
News & Press: Apr 17 2018 | Bachtrack
A compassionate duet with George Talbot (the superb Nicolas Testé)...
“…the bass-baritone managed to imbue his role with a quiet authority that made Talbot a center of stillness who commanded attention. His beautifully produced voice helped to make the “confession” scene with Damrau the undoubted highlight of the evening. This was Donizetti and the singers at their combined best, the overall impact unutterably moving.”
Opera News